Le dimanche 26 décembre 1999, une tempête exceptionnelle, avec des vents mesurés de 150 à 200 km/h, a traversé toute la moitié nord de la France, pour atteindre finalement l'Allemagne et la Suisse.
Dans la soirée du lundi 27 décembre 1999, une seconde tempête, tout aussi violente, a cette fois-ci frappé la moitié sud de la France. .



Le bilan est catastrophique, quasiment toutes les régions de la Bretagne à l'Alsace et du Nord au Languedoc Rousillon ont été plus ou moins touchées par les bourrasques destructrices. Les dégats se chiffrent en dizaines de milliards de Francs.



Lundi soir, les autorités avaient recensé 39 morts parmi la population. Des monuments historiques et des milliers d'habitations ont subi des dommages considérables.
La tempête d'une violence sans précédent a également dévasté une grande partie du patrimoine forestier français. Des forêts centenaires ont été ravagées et dévoilent un paysage chaotiques.



L'importante couverture nuageuse du 11 août 1999 a gaché l'observation de l'éclipse. Seuls quelques rares sites privilégiés ont pu permettre d'apprécier dans sa totalité ce fabuleux phénomènes.



Les observateurs situés dans la zone d'éclipse totale ont été plongés dans l'obscurité pendant quelques secondes pour la plupart inoubliables. Beaucoup ont ressenti une baisse de températures de plusieurs degrés, lié a l'occultation du rayonnement solaire par la Lune. Bref, le spectacle fut exceptionnel.



Les rivières des Français et Mattawa situées dans les parcs provinciaux des voies navigables dans l'Ontario au Canada. Le nom de ces rivières évoque le souvenir des voyageurs peinant dans les portages, tirant leurs embarcations d'écorces de bouleau, les «canots de maître», pour contourner chutes et rapides, et pagayant devant des rochers polis pur les glaciers qui leur renvoient l'écho de leurs chants.






Cet exemple montre un empilement d'élément HTML dans la page Web.
Le premier paragraphe et la première image ont tous les deux la position absolue, ainsi, l'image placée après le texte se retrouve au-dessus de celui-ci.

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La seconde image et le second paragraphe conserve la même valeur de positionnement, mais leur place dans l'arbre du document est intervertie, ce qui provoque une inversion par rapport au premier couple. Soit, le texte est placé au-dessus de l'image.

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Le troisième paragraphe a la valeur absolue et la troisième image, la valeur relative. Dans ce cas, le paragraphe est placé avant l'image qui se retrouve au-dessus du texte.

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Le quatrième couple conserve les mêmes valeurs de positionnement mais est placé différemment, le paragraphe est derrière l'image dans l'arbre du document ce qui provoque le positionnement du texte à droite de l'image.

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Le cinquième paragraphe a la valeur relative et la cinquième image, la valeur absolue. Ici, le paragraphe conserve une position normale dans la page et en-dessous se trouve l'image.

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Le sixième couple conserve des valeurs identiques au précédent, mais leur placement dans l'arbre du document est inversé ce qui produit un flottement de l'image positionnée sous le paragraphe.

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Afin d'éviter une superposition totale des différents exemples, notamment dans la première partie, quatre sauts de ligne ont été spécifiés entre chaque couple. D'ailleurs, plusieurs sauts de ligne ont été nécessaire entre le dernier couple et le début du paragraphe explicatif de cette page dans le but d'éviter le masquage du texte par l'image flottante du dernier exemple.